Véronique Suissa, Directrice de l’A-MCA et participante à la réunion livre son témoignage dans un entretien au magazine en ligne Senior Actu.
Contexte
La création en mars dernier du Comité d’appui pour l’encadrement des Pratiques de Soins Non Conventionnelles a pour objectif l’encadrement des médecines dites « douces » vers lesquelles se tournent de plus en plus de Français (selon un sondage Odoxa, la moitié des Français auraient en effet recours à ces thérapies).
Or les PNSC ne sont :
- ni reconnues, sur le plan scientifique, par la médecine conventionnelle
- ni enseignées au cours de la formation initiale des professionnels de santé
- ni, jusqu’à présent, encadrées par les Autorités
La position de la ministre, c’est qu’on ne peut pas nier que certains de nos concitoyens font appel à ces pratiques, et en même temps (…) il faut qu’on soit capable de les protéger de toute dérive.
La réunion du Comité du 28 juin qui a notamment réuni la HAS, l’ANSM a été précédé la veille par la publication par l’Ordre des médecins d’un rapport très critique sur « LES PRATIQUES DE SOINS NON CONVENTIONNELLES ET LEURS DÉRIVES ».
L’entretien
Véronique Suissa, Directrice générale de l’Agence des Médecines Complémentaires et Adaptées (A-MCA) et participante à cette réunion, livre son témoignage.
- En quoi a consisté cette première réunion du comité d’appui pour l’encadrement des PSNC ?
- Quels sont les axes de travail annoncés par le ministère de la Santé et quel est votre avis dessus ?
- Pour les seniors, votre point de vue, quels apports peut constituer le bilan de ce comité ?
- Au regard des thématiques abordées, l’A-MCA a donc toute sa place au sein de ce comité…
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