Avec l’UPSME, restons mobilisés !

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La réforme de la TVA 2025 des micro entrepreneurs est suspendue jusqu’en juin.

La mobilisation massive des micro-entrepreneurs a permis deux victoires majeures :

  • L’annonce de la suspension de la mesure par le Ministre de l’économie et une période de consultations qui s’est achevée le 28 février 2025.
  • L’annonce d’un nouveau report jusqu’au 1er juin 2025.

La situation à ce jour :

  • Les seuils, entrés en vigueur le 1er janvier 2025, demeurent inchangés :
  • 85 000 € et 93 500 € pour les opérations de ventes et de prestations d’hébergement
  • 37 500 € et 41 250 € pour les prestations de services de toute nature.
  • Aucune démarche n’est à faire si votre chiffre d’affaires est supérieur à 25 000 € ou 27 500 €. La réforme est au point mort à ce jour.
  • Quatre propositions de loi (PLP) ont été déposées par différents groupes parlementaires à l’Assemblé Nationale et doivent être débattues dans les prochaines semaines. Elles ont toutes pour objectif de faire annuler purement et simplement la réforme.
  • Le gouvernement tente toujours de trouver un compromis qui permettrait de sauver la face.


Les missions de l’Union Professionnelle au Service de la Micro-Entreprise

La mission de l’UPSME est triple.

AGIR auprès des pouvoirs publics et des organismes sociaux

  • La micro-entreprise doit obte­nir l’écoute des acteurs ins­ti­tu­tion­nels et para-éta­tiques.
  • Le micro-entre­pre­neur doit pou­voir se consa­crer plei­ne­ment au déve­lop­pe­ment de son entre­prise.
  • Agir auprès des pou­voirs publics et des orga­nismes sociaux pour cor­ri­ger les dys­fonc­tion­ne­ments et sim­pli­fier la micro-entre­prise.

AGIR auprès des acteurs économiques

  • La micro-entre­prise doit obte­nir la consi­dé­ra­tion des autres pro­fes­sion­nels.
  • Le micro entrepreneur doit être res­pecté comme un pro­fes­sion­nel à part entière par l’ensemble des acteurs éco­no­miques et sociaux.
  • Mettre en place des par­te­na­riats avec les entre­prises, les orga­ni­sa­tions pro­fes­sion­nelles, les orga­nismes d’accompagnement et les divers inter­lo­cu­teurs des micro-entre­pre­neurs.

INFORMER

  • La micro-entre­prise doit obte­nir une recon­nais­sance sociale.
  • La micro-entre­prise doit jouir d’une véri­table pro­mo­tion afin de libé­rer les talents.
  • Informer l’ensemble de la société du fonc­tion­ne­ment de la micro-entre­prise et des ver­tus de la micro-éco­no­mie pour la col­lec­ti­vité.

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